Avant-propos du directeur de publication
Si vous êtes arrivés sur cette page, bravo, car cet article va littéralement à contre-courant de TOUT ce que l'on nous enseigne depuis notre berceau ! Il a été écrit par un médecin suisse, Christian Tal Schaller, qui est aussi naturopathe et un hygiéniste reconnu en France !
Cet article n'a pas pour but de choquer ou de créer la polémique, mais s'inscrit dans la volonté affirmée du site de communiquer, de la manière la plus pédagogique possible, sur les pratiques et outils ancestraux de santé, que l'homme utilise depuis toujours, qui fonctionnent, et qui pourraient bien vous aider !
J'en profite pour remercier la doctoresse en médecine, naturopathe et anthropologue, Jade Allègre, qui fut la première personne à me parler de cette pratique si naturelle de santé; Jade je t'avais pris pour une folle, mais un voyage en Inde, des rencontres clefs et quelques expériences de vie, confirmèrent largement les bienfaits de cette pratique que, par conditionnement, je trouvais alors répugnante !
Amaroli ou la thérapie par l'urine
L’urine, en applications sur la peau, en boisson, en injections sous-cutanées ou en remède homéopathique (isopathie) est l’une des méthodes thérapeutiques les plus anciennes du monde pour guérir les maladies et développer l’immunité et la santé individuelle.
Amaroli (le nom indien de la thérapie par l’urine) est connue des médecines ancestrales de la Chine, du Tibet, de l’Inde, de l’Amérique du Nord et du Sud, de l’Europe (tradition celte), de la Polynésie, de la Sibérie, des pays du bassin amazonien, etc...
Des centaines d’études scientifiques ont été consacrées à cette thérapie jusqu’à ce que le développement rapide de l’industrie pharmaceutique, après la seconde guerre mondiale, vienne bloquer toutes les recherches sur une thérapie qui a le grand défaut, pour les marchands, d’être complètement gratuite ! Il n’existe, dans toute la littérature médicale mondiale, aucune étude montrant que cette thérapie par l’urine pourrait présenter le moindre danger, contrairement aux médicaments chimiques dont les effets secondaires sont nombreux et souvent dangereux.
Il y a de nombreuses manières d’utiliser l’urine : sur la peau, sur les cheveux, gouttes dans les yeux ou les oreilles, lavements intestinaux, douches vaginales, compresses humides, gargarismes ou boisson médicinale. On utilise de l’urine fraîche et, sauf dans quelques rares cas particuliers, on prend toujours son propre « élixir de vie ».
Si vous buvez votre urine, commencez par de petites quantités (par exemple un demi-verre par jour) puis augmentez progressivement la dose. Amaroli, comme toutes les médecines énergétiques et naturelles, a un grand pouvoir de nettoyage et l’on veut éviter de déclencher des crises de détoxication trop intenses.
Pour aller vers la guérison, amaroli doit impérativement s’accompagner d’un mode de vie holistique (c'est à dire global ou conscient), qui veille au bien-être des quatre corps de l’être humain :
Le corps physique :
Exercice régulier, repos, massages, alimentation végétale, vivante et variée. Super aliments comme les graines germées, les algues, le pollen, etc. Jeûne, lavements intestinaux, techniques de santé et médecines douces.
Le corps émotionnel :
Prendre des « moments d’enfance » pour défouler ses émotions par des gestes naturels, des cris, pleurs, rires, danses et chants, hors de la vue des adultes, comme le font si bien les petits-enfants ! (Lire Libérez votre folie douce).
Le corps mental :
Pensée positive, visualisation créatrice, voyages intérieurs, psychothérapies qui permettent une guérison des traumatismes psychiques du passé, avec l’idée qu’ « il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse ! »
Le corps spirituel :
Yoga, méditation, prière et techniques pour se relier à la joie et à la sagesse des mondes de lumière, écoute de la voix intérieure (intuition). Elle nous relie à ce corps qui ne quitte jamais la lumière divine et nous guide constamment vers le bonheur et la plénitude.
Il s'agit aussi d'apprendre à connaître et comprendre les personnages intérieurs qui, en nous, façonnent notre réalité.
Avec amaroli, vous devenez votre propre médecin : l’odeur et le goût de votre urine vous permettent d’établir un diagnostic précis de votre état de santé et vous disposez aussitôt du remède parfait pour vous détoxiquer et vous régénérer.
Amaroli est une alchimie qui transforme le plomb en or et procure à ceux qui la connaissent tous les médicaments qu’ils achetaient en pharmacie, à cette différence près que toutes les substances contenues dans l’urine sont vivantes et parfaitement dosées par le corps lui-même. Sur le plan thérapeutique, elles sont donc bien supérieures à tous les produits chimiques fabriqués par l’homme. La question fondamentale que nous devons nous poser est :
« Vaut-il mieux faire confiance à la sagesse de notre propre corps, créé il y a des millions d’années par Mère Nature, avec une intelligence qui dépasse les limites de notre imagination, ou faut-il obéir aveuglément à la science moderne, qui n’a qu’un siècle d’existence et qui est conduite par des apprentis sorciers encore très peu conscients ? Pour se guérir, vaut-il mieux absorber les médicaments chimiques préparés par les multinationales ou les substances vivantes fabriquées par les corps lui-même ? »
Il n’existe aucune maladie qui n’ait pas été guérie au moins une fois par un mode de vie holistique incluant la prise d’amaroli. Tout peut être guéri lorsque vous cessez de polluer votre corps et votre psychisme pour créer une vie nouvelle, positive et naturelle.
Amaroli est aussi une révolution, celle de l’ « écologie intérieure », qui touche des millions d’être humains dans le monde et permet d’apporter la santé aux pays du Tiers Monde. Pour tous les pays qui ne peuvent acquérir de médicaments chimiques en raison de leur coût élevé, amaroli est une véritable bénédiction, un moyen merveilleux pour gérer sa santé sans devenir dépendant d’une aide extérieure. Pour les pays riches, intoxiqués d’une manière dramatique par le mode de vie industriel, amaroli représente une voie royale vers la reconquête de santé.
En Allemagne fédérale, plus de dix millions de personnes connaissent et pratiquent amaroli et la prise de conscience que notre santé dépend de nous et non des multinationales pharmaceutiques ne peut que croître dans le monde entier.
Comment peut-on expliquer les effets thérapeutiques d’amaroli ?
On peut tenter de les expliquer de diverses manières complémentaires :
Les substances vivantes que l’urine contient (enzymes, hormones, neurotransmetteurs, vitamines, anticorps, antibiotiques et autres médicaments naturels).
Processus d’auto-vaccination et de transmutations biologiques.
Effets nettoyants et régénérateurs des sels minéraux urinaires.
Énergie vitale et information biologique que contient amaroli.
L’urine, contrairement à ce que croient beaucoup de gens, n’est pas un déchet toxique mais du sang filtré.
En fait, tout le secret de cette méthode repose sur la SAGESSE DU CORPS : Celui-ci ne va prendre dans l'urine qui passe dans le tube digestif que ce dont il a besoin, le reste étant évacué avec les selles. Le corps humain est capable de faire des transmutations biologiques, soit transformer le sodium en magnésium par exemple et ainsi de suite.
Ce que nos savants font avec peine dans des centrales nucléaires, notre organisme le réalise en douceur dans l'intimité de nos cellules.
On peut admirer les "progrès de la science" mais comme le disait Edison: "Tant que les savants ne sauront pas fabriquer un brin d'herbe, la Nature ne pourra que rire de nos "connaissances scientifiques. Pour l'instant, il vaut donc mieux faire confiance à la Nature plutôt qu'aux savants!"
C'est là toute la puissance d'Amaroli : Agir avec le corps en respectant le "Primum non nocere" d'Hippocrate (D'abord ne pas nuire) au lieu d'abuser des médicaments chimiques, qui ont tous un point commun, celui de faire baisser l'immunité générale !
On pourrait même dire qu'un des grands drames de notre temps est d'avoir laissé sortir de hôpitaux des médicaments chimiques qui peuvent sauver des vies dans les cas aïgus mais qui, dans les maladies chronique ne font qu'aggraver l'intoxication des patients !
La caractéristique principale de ceux qui critiquent et rejettent amaroli est qu’ils n’ont pas fait d’essai personnel de cette méthode !
Ils se contentent de réactions émotionnelles sans étudier le sujet à fond. En fait, tout thérapeute devrait avoir pratiqué amaroli sur lui-même avant de le conseiller à ses patients car, dans ce domaine, rien ne peut remplacer l’expérience personnelle !
Les principaux livres en français sur le sujet sont Testez l'urinothérapie de CT Schaller et J. Razanamahay, aux éditions Marco Pietteur, Urinothérapie (livre de poche) aux éditions Lanore et L’Élixir de Vie de Coen Van der Kroone, aux éditions Jouvence.
Voici quelques témoignages des bienfaits d’amaroli :
(De nombreux autres témoignages de guérison se trouvent dans Testez l'urinothérapie).
D’un bulletin de nouvelles de prêtres liégeois en mission (Pérou)
« Durant un an nous avons accueilli un handicapé de 50 ans souffrant d'un cancer à la prostate. Après plusieurs chimiothérapies affaiblissantes on n'a pas osé en faire une de plus. Il a reçu 20 séances de radiothérapies pour bien localiser la tumeur puis reprendre la chimio...Le malade n'a pas accepté et a suivi l'urinothérapie. Deux mois plus tard, au contrôle, on constate que le cancer a disparu et qu'il était en pleine forme. Il est rentré tout heureux chez lui et nous aussi. Nouveau contrôle dans 6 mois. »
D'une femme médecin
"Je pratique depuis quatre mois et je suis très enthousiaste. La première fois ce fut difficile : toute mon éducation rendant la déglutition pénible ! Et peu à peu les perceptions ont changé. J'ai appris, à travers ce geste, à m'aimer plus et mieux. Mes dépenses en habits ont chuté et maintenant je ne me lève la matin ni ne me couche le soir sans boire le précieux philtre et je prends un réel plaisir à me lotionner avec le visage et le corps. Autour de moi, on s'étonne de me trouver rajeunie. J'en ai parlé à certains malades et j'ai été étonnée de voir que beaucoup connaissaient déjà cette méthode. J'ai vu avec elle des plaies guérir très vite, des verrues disparaître, des migraines s'envoler."
D'un médecin sud-américain
"Les résultats que j'obtiens avec l'urinothérapie sont extraordinaires. D'abord sur moi-même : j'ai perdu 10 kilos en excès en trois semaines en pratiquant amaroli avec un régime hypocalorique ! Mes facultés intellectuelles se sont grandement améliorées et j'ai commencé à en parler à mes patients. Je suis à chaque fois étonné de l'efficacité d'amaroli dans des affections très diverses. Comment ai-je pu ignorer si longtemps cette merveilleuse thérapie ?"
D'Harald Tietze, un australien qui a participé aux trois congrès mondiaux sur l’urinothérapie
"Sur la page de couverture de mon livre sur la thérapie par l'urine, j'avais écrit : "Ne lisez pas ce livre si vous vous sentez bien, si vous êtes mince, si vous avez une belle peau, si vous ne souffrez pas d'allergies, de dépression, d'asthme, de psoriasis et si vous ne craignez pas d'être mordu un jour par un serpent venimeux !"
Je ne croyais pas, en écrivant cette phrase destinée à attirer le regard, que je connaîtrais un jour l'un des problèmes de cette liste ! Le 26 octobre 1998, alors que je recherchais des plantes sauvages pour un livre que j'écrivais à ce sujet, je fus mordu à la jambe par un serpent venimeux. La plaie saignait et l'hôpital optimal le plus proche était à plus d'une heure de marche. C'était l'instant ou jamais de me rappeler la phrase écrite sur mon livre et d'utiliser le liquide miracle ! Je l'ai fait puis suis allé à l'hôpital pour faire des analyses qui n'ont montré qu'une réaction minime au poison, à la grande surprise des médecins. J'ai quitté l'hôpital sans traitement "moderne", content de sortir sur mes deux pieds plutôt que dans un cercueil !"
D'un jeune français
"Je suis séropositif depuis cinq ans et asymptomatique jusqu'à il y a un an. Effectivement, mon professeur traitant a jugé urgent de me mettre sous tri-thérapie car mes résultats de charge virale étaient supérieurs à 750.000 et mes T4 étaient descendus à 286. Je décidai néanmoins de m'accorder une chance de guérison par des moyens plus doux. Une de mes amies m'a convaincu qu'en suivant la thérapie "Amaroli" j'avais des chances d'amélioration. J'ai donc lu les deux livres avec grand intérêt et mis en pratique la méthode. J'ai ressenti une transformation assez phénoménale tant dans le sens physique que moral. Parallèlement, j'ai découvert les produits du docteur Eric Le Ribaut, le G5 notamment. La combinaison de ces deux méthodes ainsi qu'une alimentation saine, sans viande animale, font que mes résultats de laboratoire ses sont déjà notablement améliorés".
Sur le site internet de l'association chinoise de thérapie par l'urine (Taiwan) on peut lire ces propos sur la cosmétique :
"Rechercher la beauté fait partie de la nature humaine. Quel que soit son âge, chaque femme veut être belle. Pourquoi utiliser des produits cosmétiques toxiques pour la peau quand la nature offre un merveilleux élixir ? De plus en plus de femmes japonaises utilisent leur propre urine pour rester jeunes et séduisantes .Si vous n'êtes pas convaincues, Mesdames, renseignez-vous et vous découvrirez les résultats extraordinaires de la thérapie par l'urine. Comme la princesse Lady Yang, qui fut la favorite de l'empereur Tang Ming Huang, vous resterez ravissante et charmante même à un âge avancé !" Cette association donne aussi les résultats détaillés de traitements de patients cancéreux avec des extraits d'urine.
D'un habitant de la République du Bénin
Amaroli est vraiment extraordinaire. C'est une porte qui s'ouvre, menant vers la prise en charge de soi-même, l'admiration envers la sagesse de son propre corps, la joie de retrouver sa santé perdue.
Je souffrais depuis de nombreuses années de rhumatismes et d'un diabète insulino-dépendant. Avant de commencer Amaroli, j'ai mangé des végétaux crus et des fruits frais pendant trois semaines, pour me préparer. Quand j'ai alors bu mon urine, elle avait un goût délicieux, vraiment parfumé. J'avais l'impression d'avoir trouvé le secret des alchimistes, l'élixir de Jouvence, le breuvage sacré. Après quelques jours seulement de prise d'Amaroli à la dose de trois verres par jour, je disposais déjà d'une énergie vitale exceptionnelle et j'ai pu me remettre à la course à pied que j'avais abandonnée depuis vingt cinq ans. En trois mois de vie saine avec la prise d'Amaroli, entre trois et cinq verres par jour, je suis devenu un homme nouveau, régénéré, et je n'ai presque plus besoin d'insuline. Je suis sûr que bientôt je pourrai m'en passer tout à fait , car je sais que mon corps a la capacité de tout réparer lorsque je le soutiens dans son travail !"
D'un employé de banque suisse
"Je n'aurais jamais cru que la santé soit si simple. Pendant des années, j'ai pris des médicaments de toutes sortes mais j'étais toujours "patraque". Depuis que j'ai découvert Amaroli, je ne consomme plus d'autres remèdes que ceux que mon corps fabrique lui-même et m'offre gratuitement dans l'urine. Je suis enfin délivré des allergies qui m'empoisonnaient la vie. Bien sûr, je veille aussi à choisir des aliments sains et je ne consomme presque plus de viande et de produits laitiers. C'est facile car mon niveau élevé de bien-être me pousse automatiquement vers des aliments naturels et les "aliments lourds" ne me font plus envie comme auparavant. Quand je suis invité chez des amis, je mange ce qu'ils m'offrent, mais en petites quantités, et le lendemain, je fais un jour de jeûne ou de cure de fruits ! Que c'est agréable de vivre en bonne santé !"
D’un habitant du Bénin
"Je souffrais depuis de nombreuses années de crises de paludisme. C’était un vrai enfer et je déclinais de plus en plus. J’ai entendu parler de l’ "eau de vie » et j’ai immédiatement commencé à en boire un verre tous les matins. Après quelques jours déjà j’ai senti mes forces commencer à revenir et je n’ai plus eu une seule crise de paludisme. C’est extraordinaire !
D’une sœur du Cameroun
« J’ai diffusé cette thérapie autour de moi avec joie, si bien que des guérisons ont été réalisées entre autres sur le paludisme, l’asthme, la grippe, la toux, l’hépatite B, des plaies incurables, la sinusite et autres maux. La diffusion de cette thérapie dans les principales villes du Cameroun a entraîné des témoignages de guérison de plus en plus nombreux ; Si bien que ces nouvelles sont parvenues aux oreilles de certains médecins. Ces derniers se sont plaints auprès du ministre de la santé qui, par la radio, la télévision et les journaux, a formellement interdit la thérapie par l »’ urine, sous peine de poursuites judiciaires puisque, selon lui, cette pratique serait dangereuse et entraînerait la mort. Plusieurs personnes en voie de guérison ont arrêté leur traitement par peur. Ne continuent à pratiquer Amaroli que ceux qui sont déjà convaincus des bienfaits de cette thérapie et ceux qui, dans l’opposition politique, continuent à diffuser leurs témoignages. »
Pour terminer , voici quelques échos du troisième congrès mondial de Belo Horizonte au Brésil, qui a eu lieu en 2003 :
Outre les témoignages de nombreuses personnes qui se sont guéries grâce à l’urinothérapie, des chercheurs sont venus montrer le fruit de leurs études et des enseignants de santé ont partagé avec le public leurs efforts pour libérer les populations de la maladie.
Ainsi, dans de nombreux pays d’Amérique du Sud, des équipes parcourent les villages pour expliquer aux gens qu’ils n’ont pas besoin de médecins et de pharmaciens pour vivre en bonne santé. Avec quelques principes d’alimentation végétale, variée et vivante, quelques exercices de gymnastique quotidiens, l’utilisation des plantes locales et la pratique d’amaroli, ils peuvent parfaitement gérer leur santé eux-mêmes. Il s’agit bien là d’une révolution, celle de l’indépendance. Au lieu d’attendre sans cesse une aide extérieure, les communautés locales apprennent à s’autogérer avec des ressources naturelles et qui ne coûtent rien. Elles parviennent ainsi à une autonomie qui les met à l’abri des folies d’une mondialisation médicale qui empoisonne, au nom de la science, les peuples de la Terre pour le seul profit des multinationales de la chimie et des vaccins.
Dans de nombreux domaines de la santé publique, amaroli rend des services précieux. Un médecin argentin a montré que les grossesses des femmes prenant chaque jour amaroli se passent sans complications et que les accouchements sont facilités. La croissance des enfants auxquels les parents donnent un peu d’amaroli se déroule sans encombres. Les maladies d’enfance sont sans gravité et de courte durée.
Pour les personnes âgées, amaroli peut être le tremplin vers une nouvelle jeunesse, la compréhension qu’il n’est pas normal de vieillir en devenant de plus en plus malade. Au contraire, avec amaroli et un mode de vie sain, les personnes âgées peuvent rajeunir et jouir d’une vitalité sans faille. De nombreuses personnes ont apporté des témoignages bouleversants de la manière dont elles avaient, grâce à amaroli, pu sortir des maux de la vieillesse et redevenir des êtres actifs, dynamiques et utiles à la société. Quand on pense à toutes ces personnes âgées qui mènent une vie morne et sans joie dans des foyers et des asiles, persuadés que leurs maux sont inguérissables, enfoncés jusqu’au cou dans un rôle de victimes de la vie, se croyant contraintes d’avaler plusieurs fois par jour des médicaments chimiques qui les empoisonnent à petit feu, on aimerait que l’exemple des « vieux qui sont redevenus des jeunes » soit montrés à tous !
Au Brésil sous la dynamique impulsion de médecins, de thérapeutes et d’éducateurs de santé enthousiastes, la connaissance d’amaroli se répand comme une traînée de poudre.
Parmi les nombreuses conférences du congrès, relevons celle du docteur Florence Thiriez, de Paris, qui a montré l’intérêt d’associer à la pratique d’amaroli l’utilisation de l’argile, qui est un médicament gratuit et d’une remarquable efficacité. Pour les pays pauvres, l’argile et amaroli peuvent être de formidables moyens d’indépendance pour se soigner naturellement et sans frais. Des médecins africains ont montré l’utilisation d’urine de chameau en thérapie, Sonia Rodrigues a présenté le succès de groupes d’utilisateurs d’amaroli au Mexique.
La doctoresse Fatima Pimenta, l’une des organisatrices du congrès, a expliqué comment amaroli avait complètement changé sa vision de la médecine et lui avait donné une vitalité telle qu’elle pouvait s’adonner régulièrement à la capoeira, une danse acrobatique spécifique du Brésil qui demande une forme physique exceptionnelle.
La doctoresse Carmen Ramirez, de Cuba, a enthousiasmé l’auditoire par ses recherches et ses résultats thérapeutiques, le docteur Rovere, d’Italie, a lancé l’idée de créer un site internet international sur l’urinothérapie et le professeur Kang Kook Hee, de Corée du Sud a montré comment, dans son pays, plus d’un million de personnes ont adopté amaroli !
Le docteur Christian Tal Schaller a dit, dans sa conférence : " Pour que les habitants des pays pauvres puissent suivre un autre modèle de développement que celui des pays riches, quelques éléments sont importants :
1. Une alimentation végétale, variée et vivante, qui remplace les aliments d’origine animale par des aliments à haut pouvoir nutritif comme les graines germées et les jeunes pousses.
2. La connaissance d’amaroli et des moyens naturels de santé pour aider le corps à se guérir lui-même de toutes les maladies.
3. La connaissance du jeûne qui est d’une immense utilité, notamment pour la guérison des maladies graves.
4. Une éducation émotionnelle telle que nous la décrivons dans « Le Manuel des émotions » pour se délivrer de la violence et des conflits relationnels.
5. Le respect des traditions chamaniques qui assurent l’ouverture du cerveau droit et la communication avec les mondes spirituels.
6. L’enseignement du concept holistique qui rend possible la coopération des diverses écoles de pensée qui œuvrent pour le bien-être et l’harmonie entre tous les êtres vivants. Dans mon livre « Artisans de leur miracle», j’ai montré l’extraordinaire efficacité d’une démarche holisitique dans la guérison des maladies graves. Il est regrettable que tant de gens se croient condamnés à l’impuissance et à la souffrance alors qu’ils pourraient, par les moyens holistiques, avancer sur le chemin de la guérison. »
Pour sa part, Johanne Razanamahay a déclaré dans sa conférence :
« Dans le domaine de la croissance spirituelle, je considère qu’amaroli est l’une des techniques les plus puissantes qui soient pour se délivrer des schémas de peur et des conditionnement négatifs que nous avons reçus avec notre éducation. Amaroli nous emmène au cœur de la spiritualité, qui est l’amour en action. Pas seulement l’amour des autres mais aussi l’amour de tous les personnages qui cohabitent en nous ! En détoxiquant nos corps physique, émotionnel et mental, nous recevons de plus en plus facilement la guidance de notre corps spirituel. Nous sommes alors conduits vers la rencontre avec nos guides de lumière et les mondes angéliques que j’ai décrit dans La mort n’est jamais un accident . Nous retrouvons notre unité avec le divin et la vie cesse d’être une suite de conflits et de souffrances pour s’épanouir dans la joie et la créativité. Amaroli est une porte qui s’ouvre devant nous pour retrouver le paradis perdu de la conscience claire et de l’amour inconditionnel. »
Les maladies ne sont pas des fatalités que nous devrions subir en nous résignant à la souffrance. Elles sont des occasions de prendre conscience de nos égarements et de redécouvrir les puissantes ressources du corps pour se guérir.
Nous nous trouvons à une période cruciale de l’histoire humaine. Nous nous sentons parfois impuissants pour modifier le cours des choses. Il nous est difficile d’avoir un impact direct sur la pollution de l’air, de l’eau et de la terre. Certes, nous pouvons militer dans des organisations écologistes, signer des pétitions, faire des lettres ouvertes aux journaux et aux hommes politiques, prendre la parole dans les conseils communaux ou tout autre action qui nous est dictée par notre désir de ne pas laisser la société à la dérive sur une mer de déchets empoisonnés. Mais il y a un domaine plus proche de notre quotidien, dans lequel nous pouvons concilier notre intérêt personnel et celui de la planète tout entière : notre façon de gérer notre santé.
En évitant de nous empoisonner par des aliments nocifs et en utilisant des méthodes naturelles, comme amaroli, pour rester en bonne santé, non seulement nous préservons notre bien-être mais nous avons un impact puissant sur les grands problèmes écologiques et politiques de notre temps.
Nous cessons d’être complices de la destruction de la planète, nous ne sommes plus les esclaves dociles des multinationales.
Nous faisons tout cela sans faire de guerre, sans brandir d’étendard, sans accuser ceux qui ne sont pas comme nous. Nous comprenons que ceux qui n’ont pas encore fait les prises de conscience qui sont les nôtres ne sont pas mauvais, ils sont simplement encore jeunes, comme des petits frères immatures.
Va-t-on punir un bébé parce qu’il ne sait pas encore marcher ? Bien sûr que non ! On le comprend et on l’aime tel qu’il est, à son niveau de développement. Va-t-on accuser et condamner un président de multinationale parce qu’il ne sait encore voir que le profit de sa compagnie et pas encore l’intérêt collectif ? Non plus. On va chercher, avec amour, à l’éduquer patiemment. On va tout faire pour l’aider à élargir sa vision. Va-t-on traiter d’assassin un mangeur de viande et dire avec condescendance : « Moi, je ne tue plus, je suis végétarien ! » Non plus. Va-t-on traiter d’imbéciles ceux qui avalent des remèdes chimiques à longueur d’année sans réaliser qu’ils s’autodétruisent ? Non plus ! Le temps des guerres de religion et des idéologies qui se heurtent et se combattent dans des bains de sang peut s’arrêter.
Une nouvelle sorte de révolution est en marche, une révolution qui ne consiste plus à chasser ceux qui sont assis sur le trône du pouvoir afin de prendre leur place pour dominer les autres à notre tour, une révolution discrète parce qu’elle substitue aux jeux de pouvoir du passé une nouvelle vision du monde dans laquelle nous agissons ensemble, tous ensemble, quel que soit le rôle joué par chacun.
Il ne s’agit plus de gagner « à n’importe quel prix », il s’agit d’apprendre à coopérer entre gens différents, en percevant nos différences comme complémentaires plutôt que comme étant des fossés qui nous séparent et nous poussent à nous battre les unes contre les autres.
Nous allons nous intéresser à ce qui nous unit plutôt qu’à ce qui nous divise, à ce qui nous rapproche plutôt qu’à ce qui nous sépare, à ce que nous pouvons apprendre les uns des autres plutôt que de vouloir tout niveler sous la tutelle du plus fort.
En fait, le seul obstacle qui se dresse devant nous pour parvenir à créer cette société nouvelle, c’est notre propre peur. Peur des parties de nous que nous ne connaissons pas encore, peur des autres, peur de la maladie, peur de la mort et peur du changement. La connaissance d’amaroli est l’un des moyens puissants pour se délivrer de ces peurs qui ont obscurci tant de siècles de l’histoire humaine.
Ouvrons nos consciences à la sagesse multimillénaire de l’humanité et créons tous ensemble un monde de paix, de partage, de santé et d’amour !
Article écrit par Christian Tal Schaller, médecin suisse, naturopathe, chaman et rédacteur chez juste Naturo.
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